
J'ai mis un peu de temps pour développer la suite de mon mémoire personnel pour les causes suivantes :
- Déménagement
- 2 emplois = 60.5 heures semaine
- 1 cours à l'Université
Je gage une petite pallette de vingt que vous êtes capable de comprendre
Clin d'oeil à ce commentaire : '' Marie-Ève Soucy : Pis ton blog lui ?''
Donc, où en étais-je.... Nous avons vu la phase 1 (la bonheur extrême ), la phase 2 (La chute de l'empire universitaire), maintenant, nous tournons notre regard vers l'une des plus grandes phases du syndrome du post-bachelier : LA CRISE EXISTENTIELLE
Crise, parce que, peu importe votre sexe, votre âge, vos manies, votre emploi du temps, d'une minute à l'autre vous verserez peut-être une ou plusieurs larmes. C'est le découragement total. D'un côté vous êtes heureux de votre accomplissement personnel, de l'autre, c'est l'idée de se retrouver sans emploi, du jour au lendemain, qui effraie.
Sans emploi, c'est un grand mot, plutôt sans emploi dans le domaine étudié.
La crise existentielle est accompagnée d'un retour dans le passé ... Et oui, il faut revoir et parfois même, refaire son curriculum vitae. Un curriculum contenant tous les emplois ou implications pertinentes à l'embauche... En plus de la recherche d'emploi, du manque d'argent, des plaisirs et misères de la vie, bref, c'est une réelle montagne.
Solution du lâche : Se mettre en boule dans le coin de sa chambre et pleurer son désespoir.
Solution du semi-lâche: Pleurer son désespoir, voir l'Everest se bâtir de soi et pleurer encore.
Comme vous pouvez le constater, il n'y a de solutions que pour les lâches, car oui, vous et moi, serons tous un jour lâche et sans ambition et ce sera à ce niveau précis du syndrome que nous adopterons cette optique. Pessismiste, certains me diront, non, réaliste.
La joie de vivre, les nombreux projets et rêves, les ambitieux et précieux défis qui ont jadis alimenté votre petit coeur, tout cela: EFFACÉS .
Les souvenirs universitaires, les fous rires avec les amis dans la cafétéria, les journées à plancher sur un travail, les nuits blanches à boire de la bière et mettre toute la faute du monde sur les épaules d'un professeur qui demande 15 pages à 1,5 interligne plutôt qu'à double-interligne, EFFACÉS
Les vacances d'été, les soirées d'amoureux, les films, les dimanches à flaner dans le lit, les baignades à la brunâtre, les soirées à écrire et créer un blogue, EFFACÉS.
Place à la mélancolie et le repliement sur soi-même, mais de grâce, C'EST NORMAL. Il n'y a aucun mal à se plaindre et se dire qu'on est bon à rien. Au contraire, je vois cela comme une autoflagellation motivante. Motivante, car ce dénigrement de soi-même pourrait vous apporter à vous surpasser dans votre éventuelle carrière.
Le syndrome du poste-bachelier un psycho-drame-romantique. Le terme romantique signifie tout simplement que ça finit bien :)
À suivre....
- Déménagement
- 2 emplois = 60.5 heures semaine
- 1 cours à l'Université
Je gage une petite pallette de vingt que vous êtes capable de comprendre
Clin d'oeil à ce commentaire : '' Marie-Ève Soucy : Pis ton blog lui ?''
Donc, où en étais-je.... Nous avons vu la phase 1 (la bonheur extrême ), la phase 2 (La chute de l'empire universitaire), maintenant, nous tournons notre regard vers l'une des plus grandes phases du syndrome du post-bachelier : LA CRISE EXISTENTIELLE
Crise, parce que, peu importe votre sexe, votre âge, vos manies, votre emploi du temps, d'une minute à l'autre vous verserez peut-être une ou plusieurs larmes. C'est le découragement total. D'un côté vous êtes heureux de votre accomplissement personnel, de l'autre, c'est l'idée de se retrouver sans emploi, du jour au lendemain, qui effraie.
Sans emploi, c'est un grand mot, plutôt sans emploi dans le domaine étudié.
La crise existentielle est accompagnée d'un retour dans le passé ... Et oui, il faut revoir et parfois même, refaire son curriculum vitae. Un curriculum contenant tous les emplois ou implications pertinentes à l'embauche... En plus de la recherche d'emploi, du manque d'argent, des plaisirs et misères de la vie, bref, c'est une réelle montagne.
Solution du lâche : Se mettre en boule dans le coin de sa chambre et pleurer son désespoir.
Solution du semi-lâche: Pleurer son désespoir, voir l'Everest se bâtir de soi et pleurer encore.
Comme vous pouvez le constater, il n'y a de solutions que pour les lâches, car oui, vous et moi, serons tous un jour lâche et sans ambition et ce sera à ce niveau précis du syndrome que nous adopterons cette optique. Pessismiste, certains me diront, non, réaliste.
La joie de vivre, les nombreux projets et rêves, les ambitieux et précieux défis qui ont jadis alimenté votre petit coeur, tout cela: EFFACÉS .
Les souvenirs universitaires, les fous rires avec les amis dans la cafétéria, les journées à plancher sur un travail, les nuits blanches à boire de la bière et mettre toute la faute du monde sur les épaules d'un professeur qui demande 15 pages à 1,5 interligne plutôt qu'à double-interligne, EFFACÉS
Les vacances d'été, les soirées d'amoureux, les films, les dimanches à flaner dans le lit, les baignades à la brunâtre, les soirées à écrire et créer un blogue, EFFACÉS.
Place à la mélancolie et le repliement sur soi-même, mais de grâce, C'EST NORMAL. Il n'y a aucun mal à se plaindre et se dire qu'on est bon à rien. Au contraire, je vois cela comme une autoflagellation motivante. Motivante, car ce dénigrement de soi-même pourrait vous apporter à vous surpasser dans votre éventuelle carrière.
Le syndrome du poste-bachelier un psycho-drame-romantique. Le terme romantique signifie tout simplement que ça finit bien :)
À suivre....
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire