20 août 2010
Après la débandade du 4 jeudis (petit bar situé dans le vieux-hull en Outaouais), je me réveille au son des oiseaux environnant. Le cadran indique 1h ou 7h, c'est quasi-semblable à mes yeux... finalement, il était 1h00 de l'après-midi, j'ai du retard dans ma journée de post-bachelière. Au moins, je ne suis pas en retard au boulot !
Précédemment, je vous délectais de ma liste des grandes phases du syndrome du post-bachelier. Nous avons exploré le bonheur extrême. Marc-Antoine Rochon, post-bachelier depuis décembre 2009, me soulignait que son bonheur n'avait duré que 7 minutes. Voici son commentaire :
"intéressant...un genre d'auto-psychanalyse décrite...lâche pas dans mon cas la phase du bonheur extrême a durée a peu près 7 minutes...paske cétait noël esti! crisse de Noël sale! j'vais me partir un blogue sur ma haine envers Noël!!!!"
Donc nous voyons que l'essentiel du message de Marc-Antoine (en prenant soin d'enlever tout lien avec Noël) réside en la rapidité de la phase du bonheur extrême.
La chute de l'empire universitaire ou la prise de conscience de l'alcoolique
L'idée d'un sentiment heureux extrême entraîne, selon la loi de Murphy, une suite d'idée beaucoup moins drôle. Certains diront que c'est un mal pour un bien, d'autres, comme moi diront, c'est de l'os*** de grosse m****.
Et oui, on tombe. On tombe de haut.
Surtout pour ceux qui ont choisi d'en mettre plein la vue lors de leur passage universitaire, de s'impliquer partout, d'avoir un horaire de fou et de trouver à peine le temps pour dormir entre un livre d'économie et un livre sur le contrôle du stress en période d'examen.
Pourquoi dire : la prise de conscience de l'alcoolique ?
Simple. En majorité, cette prise de conscience se fait entre deux verres de gin tonic sur une terasse, sur un balcon, entre amis. C'est en écoutant la carrière prometteuse des autres qu'un moment donné. Clic. C'est la chute.
Tu te dis que tu n'as rien toi. Oui, tu as un papier, et après... Tu réalises la tonne de curriculum vitae que tu as envoyé aux quatre coins de la région , toujours sans nouvelles, tu réalises que tu es peut-être trop jeune pour être sur le marché du travail, tu réalises que tu ne remettra plus les pieds en sol universitaire.TU RÉALISES beaucoup trop de choses pour te permettre de toutes les écrire dans un blog....
C'est la longue chute qui t'amènera longuement vers la première crise existentielle....
Surtout en lisant ceci sur le site de Canada Emploi
'' Trouver un emploi au Canada n'est pas facile...''
http://www.justlanded.com/francais/Canada/Emploi
À suivre
Après la débandade du 4 jeudis (petit bar situé dans le vieux-hull en Outaouais), je me réveille au son des oiseaux environnant. Le cadran indique 1h ou 7h, c'est quasi-semblable à mes yeux... finalement, il était 1h00 de l'après-midi, j'ai du retard dans ma journée de post-bachelière. Au moins, je ne suis pas en retard au boulot !
Précédemment, je vous délectais de ma liste des grandes phases du syndrome du post-bachelier. Nous avons exploré le bonheur extrême. Marc-Antoine Rochon, post-bachelier depuis décembre 2009, me soulignait que son bonheur n'avait duré que 7 minutes. Voici son commentaire :
"intéressant...un genre d'auto-psychanalyse décrite...lâche pas dans mon cas la phase du bonheur extrême a durée a peu près 7 minutes...paske cétait noël esti! crisse de Noël sale! j'vais me partir un blogue sur ma haine envers Noël!!!!"
Donc nous voyons que l'essentiel du message de Marc-Antoine (en prenant soin d'enlever tout lien avec Noël) réside en la rapidité de la phase du bonheur extrême.
La chute de l'empire universitaire ou la prise de conscience de l'alcoolique
L'idée d'un sentiment heureux extrême entraîne, selon la loi de Murphy, une suite d'idée beaucoup moins drôle. Certains diront que c'est un mal pour un bien, d'autres, comme moi diront, c'est de l'os*** de grosse m****.
Et oui, on tombe. On tombe de haut.
Surtout pour ceux qui ont choisi d'en mettre plein la vue lors de leur passage universitaire, de s'impliquer partout, d'avoir un horaire de fou et de trouver à peine le temps pour dormir entre un livre d'économie et un livre sur le contrôle du stress en période d'examen.
Pourquoi dire : la prise de conscience de l'alcoolique ?
Simple. En majorité, cette prise de conscience se fait entre deux verres de gin tonic sur une terasse, sur un balcon, entre amis. C'est en écoutant la carrière prometteuse des autres qu'un moment donné. Clic. C'est la chute.
Tu te dis que tu n'as rien toi. Oui, tu as un papier, et après... Tu réalises la tonne de curriculum vitae que tu as envoyé aux quatre coins de la région , toujours sans nouvelles, tu réalises que tu es peut-être trop jeune pour être sur le marché du travail, tu réalises que tu ne remettra plus les pieds en sol universitaire.TU RÉALISES beaucoup trop de choses pour te permettre de toutes les écrire dans un blog....
C'est la longue chute qui t'amènera longuement vers la première crise existentielle....
Surtout en lisant ceci sur le site de Canada Emploi
'' Trouver un emploi au Canada n'est pas facile...''
http://www.justlanded.com/francais/Canada/Emploi
À suivre
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